Le Mexique, dernière étape de notre tour du monde. On a traversé tranquillement le Yucatan et le Quintana Roo, de Mérida à Tulum.
On profite de notre passage dans la région pour visiter les anciennes cités antiques maya d’Uxmal et de Kabah.
Mais il existe un peu plus à l’est une autre cité maya bien plus connue : Chichen itzá… qu’on a déformé la plupart du temps en « chicken pizza ».
Encore un peu plus à l’est se trouve la ville de Valladolid. Un très joli coin où s’arrêter si on est amateur de cenotes, ces cavernes naturelles remplies d’eau douce.
Encore plus à l’est, on arrive à Cancun et les côtes atlantiques. Pour ceux qui n’ont pas l’intention de faire la teuf-tequila, Cancun offre peu d’intérêt. On a donc traversé quelques kilomètres de mer jusqu’à Isla Mujeres. De là, un autre petit navire nous a emmené rendre visite, pour quelques heures, aux requins baleines. Difficile de décrire l’émerveillement qu’on ressent à nager côte à côte avec ces géants tranquilles.
Après une courte route vers le sud, on arrive au dernier hôtel de notre long voyage à Tulum. Tulum, c’est un peu l’anti-Cancun : pas de béton, pas de boîtes de nuit, pas de spring-breaker bourré… juste des hôtels-bungalow (nombreux, mais avec peu de chambres), quelques restaurants et une gigantesque plage de sable blanc. Il fallait faire attention où on mettait les pieds, car c’était alors la saison de nidification pour les tortues de mer. A plusieurs reprises, au moment du crépuscule, on a croisé ces grands animaux occupés à creuser le sable pour y pondre. J’ai peu d’espoir pour l’une de ces générations, déposée par une tortue étourdie, pile sous la table d’un lounge de plage.
C’est sur les plages du Mexique qu’on a passé les dernières journées de notre tour du monde. Le 23 aout, un vol Cancun-Londres, puis un autre de Londres à Strasbourg nous ramènerons à la maison.