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Chilling in Chile ou « on se la coule douce au Chili » (29/04 au 09/05)

Posted by on 3 juin 2014

Autant le dire tout de suite, on a pas mal levé le pied lors de notre court séjour au Chili. Un repos mérité après 8 mois (déjà) de course  à travers la planète.

Le problème principal quand on visite le Chili tient à sa géographie : 4300 km de long pour 180km de large (en moyenne). C’est un pays spaghetti où les distances sont longues. L’autre problème vient de son climat. En mai, lors de notre visite, c’est le début de l’automne. Loin au sud du pays, en Patagonie, il fait déjà très froid. Au nord, dans le désert de l’Atacama, il fait encore très chaud. On est donc resté à mi-distance de ces extrêmes dans les belles villes de Santiago et Valparaiso.

 

Santiago

A Santiago, il est très facile et même économique de séjourner dans un appart-hôtel. Pour le prix d’une nuit dans un motel miteux aux USA, on a obtenu, en plein centre de Santiago, un mignon 2 pièces avec salle de bain et cuisine. Même si ça peut sembler scandaleux à certains de nos lecteurs, on a beaucoup apprécié de ne pas avoir à sortir au restaurant et de pouvoir cuisiner nos propres repas.

On a quand même profité de quelques promenades agréables dans la ville.

Valparaiso

A moins de 2 heures de bus de Santiago se trouve l’autre capitale du Chili : Valparaiso. Récemment, cette ville a fait couler beaucoup d’encre dans les journaux internationaux suite à un grand incendie qui a dévasté l’un de ses quartiers. Les voyageurs se rendent difficilement compte de cette tragédie car le quartier historique a été épargné. Ici et là, on aperçoit des messages de soutien à l’intention des habitants (« Fuerza, Valpo ! », Courage, Valparaiso !).

Valparaiso, nommée aussi la cité aux 42 collines, est une ville de pentes et d’escaliers. A moins de limiter sa visite au bord de mer, on doit emprunter des escaliers étroits, des pentes raides ou encore les très anciens ascensores (funiculaires) parsemés dans la ville… Quand ces derniers fonctionnent. Beaucoup d’entre eux ont plus d’un siècle d’existence et sont donc souvent en réparation.

Après cette escale reposante, on survole la cordelière des Andes pour rejoindre l’Argentine.

Bye bye Chili ! Hello Argentine !

Bye bye Chili ! Hello Argentine !

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