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Bali (du 13/01 au 31/01)

Posted by on 23 mars 2014

Sanur

Se rendre à Bali en janvier est un pari un peu risqué. Là-bas, c’est encore la saison des pluies. On s’en est vite rendu compte lors de notre première journée à Sanur, des trompes d’eau comme s’il fallait noyer l’île. Heureusement, ce fut la journée la plus humide de notre séjour. Les 18 autres jours ont tous eu une bien plus grande part de soleil que de pluie.

Les routes sont globalement en bon état sur l’île… mais elles sont très étroites. Les voitures peinent à se glisser entre les piétons, les travaux et les chiens qui encombrent souvent la route. Le scooter reste encore le véhicule maître pour slalomer jusqu’à destination.

C’est donc en scooter qu’on s’est rendu au Bali Bird Park rendre visite à une faune haute en couleur.

Le film sur ce drôle d’oiseau décoiffé by Pixar :

 

Kuta

Quelques jours après notre arrivée à Bali, on a déménagé vers Kuta, au sud-ouest. Cette ville est considérée comme un spot légendaire pour les surfeurs. Dans tous les cas, la ville s’en donne les allures : boutiques de surfs à tous les coins de rues, scooters modifiés pour pouvoir embarquer sa planche, beaucoup de cliniques (je ne sais pas si c’est très rassurant que les hotspots de surfeurs attirent à ce point le corps médical) et aussi beaucoup d’écoles de surf. J’ai rejoint l’une d’entre elle pendant quelques jours pour apprendre ce noble sport. Puis j’ai passé les quelques jours suivants dans un lit pour me remettre de diverses contusions, d’une entorse et d’une blessure au dos. Il y a du chemin avant d’atteindre le niveau de Kelly Slater.

Enfin debout... au bout du 46ème essai et de 3 tasses bues par le nez.

Enfin debout… au bout du 46ème essai et de 3 tasses bues par le nez.

En ce mois de janvier, la ville n’a de toute façon que le surf à offrir. La ville a peu d’intérêt en elle-même et les plages ne sont pas adaptées à la baignade à cause de ses vagues et de ses déchets (c’est vraiment TRES crade, impossible de rentrer dans l’eau sans traîner un sac plastique).

Sur la pointe sud-ouest de Bali se trouve le temple Uluwatu, perché sur sa falaise.

 

Nusa Lembogan

Une fois remis de mes blessures, on plie bagages pour rejoindre l’île de Lembogan au sud-est. Ce petit bout de terre est réputé pour ses fonds marins et présente une bonne alternative aux îles Gili, plus éloignées et surtout inaccessibles en cette période de l’année pour cause de mer déchainée.

On n’a pas été déçu. Pour observer les fonds sublimes de Mangrove Point et frôler les raies Manta à Manta Bay, ça valait le coup d’affronter le mal de mer pour (s’) y rendre.

 

Ubud

Nos derniers jours à Bali se sont déroulés à Ubud. Ceux qui ont vu le film « Mange, prie, aime » connaissent de nom cette ville.

On y a pas trouvé Julia Roberts, mais beaucoup de singes facétieux dans la « Monkey forest », un coin de jungle végétale dans la jungle urbaine d’Ubud. Avant d’y entrer, il est capital de ne rien avoir dans les poches, que rien ne soit accroché au sac à dos et de ne porter ni lunette ni bijou. Les macaques n’hésitent pas à jouer les pickpockets voire à montrer les dents pour obtenir ces trucs brillants que portent les touristes. Malgré mes précautions, je me suis fait racketé une bouteille d’eau (qui a été promptement bue par le voleur). C’était ça ou Val, prise alors en otage, se faisait mordre. Un des gardiens nous a dit que les singes arrivaient même à ouvrir les canettes de bière.

 

Pendant nos derniers jours à Bali, on a visité le temple Ulan Danu Bratan. Le temple carte postal de Bali.

On a poursuivi par la visite du jardin botanique de Bali situé près du temple. Ce jardin gigantesque (plus de 150 hectares), superbement entretenu était désert. Nous n’avons croisé qu’une dizaine de personne pendant notre promenade. Ici et là, des temples semblant à l’abandon nous bercent dans cette impression d’être seul au monde dans une jungle paradoxalement soignée.

 

On quitte alors les singes pour les kangourous. Bientôt, l’Australie !

 

 

 

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